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Sur l'analyse didactique / Yves CHEVALLARD (1988)
Titre : Sur l'analyse didactique : Deux études sur les notions de contrat et de situation Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves CHEVALLARD, Auteur Editeur : Marseille : IREM d 'Aix-Marseille Année de publication : 1988 Collection : Publication de l'IREM d'Aix-Marseille, ISSN 0297-4347 num. 14 Importance : 92 p. Présentation : ill. Langues : Français Mots-clés : didactique contrat didactique situation didactique Résumé : La notion de contrat didactique est sans nul doute l'un des concepts fondamentaux de la didactique des mathématiques. Plus nettement que d'autres, elle illustre ce fait auquel l'analyse didactique doit encore et encore revenir : dans la rencontre entre un enseignant des enseignés et un savoir, au sein d'un type de système didactique donné, émergent des phénomènes dont on ne saurait rendre compte à partir d'aucun de ces trois termes pris isolément ; des phénomènes dont l'explication ne se trouve ni dans l'enseignant, ni dans l'enseigné, ni dans le savoir lui-même, mais doit être recherchée d'abord dans le mode d'organisation de l'interaction qui les rassemble. Les situations didactiques qui en découlent contiennent plus ou du moins contiennent autre chose que ce que chacun d'eux séparément apporte dans l'interaction. Aussi l'établissement de la signification des situations et des comportements doit-il en premier lieu se référer à ce chef d'orchestre clandestin, toujours embarqué, toujours présent et actif, qui règle les jeux de l'échange et sur lequel les partenaires de l'échange règlent leurs interventions.
Deux études sont ici réunies :
- La première "Remarques sur la notion de contrat didactique" met le concept en fonctionnement et en montre le rendement dans l'analyse didactique, et l'intérêt pour le chercheur comme pour le praticien, à propos d'une classe de situations didactiques caractérisées, où l'élève se trouve confronté à des problèmes dits absurdes.
- La seconde "Emploi et analyse du contrat didactique" en examine l'articulation au sein d'une organisation conceptuelle qui constitue l'horizon théorique de toute analyse didactique, en montrant comment l'idée de contrat didactique vient subvertir et rectifier les notions, plus fréquentées, de situation, de comportement, de signification, du double point de vue théorique et méthodologique.
Ces études constituent ensemble une introduction à la notion de contrat didactique.Note de contenu : bibliogr. Sur l'analyse didactique : Deux études sur les notions de contrat et de situation [texte imprimé] / Yves CHEVALLARD, Auteur . - Marseille : IREM d 'Aix-Marseille, 1988 . - 92 p. : ill.. - (Publication de l'IREM d'Aix-Marseille, ISSN 0297-4347; 14) .
Langues : Français
Mots-clés : didactique contrat didactique situation didactique Résumé : La notion de contrat didactique est sans nul doute l'un des concepts fondamentaux de la didactique des mathématiques. Plus nettement que d'autres, elle illustre ce fait auquel l'analyse didactique doit encore et encore revenir : dans la rencontre entre un enseignant des enseignés et un savoir, au sein d'un type de système didactique donné, émergent des phénomènes dont on ne saurait rendre compte à partir d'aucun de ces trois termes pris isolément ; des phénomènes dont l'explication ne se trouve ni dans l'enseignant, ni dans l'enseigné, ni dans le savoir lui-même, mais doit être recherchée d'abord dans le mode d'organisation de l'interaction qui les rassemble. Les situations didactiques qui en découlent contiennent plus ou du moins contiennent autre chose que ce que chacun d'eux séparément apporte dans l'interaction. Aussi l'établissement de la signification des situations et des comportements doit-il en premier lieu se référer à ce chef d'orchestre clandestin, toujours embarqué, toujours présent et actif, qui règle les jeux de l'échange et sur lequel les partenaires de l'échange règlent leurs interventions.
Deux études sont ici réunies :
- La première "Remarques sur la notion de contrat didactique" met le concept en fonctionnement et en montre le rendement dans l'analyse didactique, et l'intérêt pour le chercheur comme pour le praticien, à propos d'une classe de situations didactiques caractérisées, où l'élève se trouve confronté à des problèmes dits absurdes.
- La seconde "Emploi et analyse du contrat didactique" en examine l'articulation au sein d'une organisation conceptuelle qui constitue l'horizon théorique de toute analyse didactique, en montrant comment l'idée de contrat didactique vient subvertir et rectifier les notions, plus fréquentées, de situation, de comportement, de signification, du double point de vue théorique et méthodologique.
Ces études constituent ensemble une introduction à la notion de contrat didactique.Note de contenu : bibliogr. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité i3428 B/AIX-MRS/1988 Livre IREM Salle Disponible Sur la formation historique du temps didactique / Yves CHEVALLARD (1987)
Titre : Sur la formation historique du temps didactique Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves CHEVALLARD, Auteur ; Alain MERCIER, Auteur Editeur : Marseille : IREM d 'Aix-Marseille Année de publication : 1987 Collection : Publication de l'IREM d'Aix-Marseille, ISSN 0297-4347 num. 8 Importance : 89 p. Présentation : ill. Langues : Français Mots-clés : didactique contrat didactique situation didactique temps histoire Résumé : Dans les systèmes modernes d'enseignement, tout enseignant doit organiser son enseignement selon une progression qui assigne à chaque item de connaissance sa juste place dans le programme d'étude. Une chose à la fois, et chaque chose en son temps : telle pourrait être la devise. Or cette contrainte de linéarité, cette nécessité où se trouve l'enseignant de produire un temps didactique normé - dont l'analyse a été menée ailleurs (Y. Chevallard, La transposition didactique, du savoir savant au savoir enseigné, Grenoble, 1985) n'ont pas toujours prévalu.
Il y a une genèse historique du temps didactique, contemporaine de la formation d'une nouvelle conception de ce que c'est qu'enseigner et, corrélativement, de ce que c'est qu'apprendre. Le temps didactique apparaît ainsi comme un trait déterminant de formes historiquement nouvelles du contrat didactique.
Cette nouveauté, pourtant, n'est pas récente. Elle naît de la rupture qui s'étale sur deux siècles au moins, entre un contrat didactique "médiéval" et un enseignement "moderne", qui se dessine clairement, dans ses principes fondamentaux, et même s'il nous paraît fort éloigné de notre univers didactique actuel, dès le XVIe siècle.
Cette étude, qui intéresse au premier chef le chercheur, concerne aussi l'enseignant, auquel elle montrera combien certains de ses gestes quotidiens, devenus si usuels qu'il les tient pour aller de soi, sont en réalité le fruit d'une longue évolution, non seulement du système d'enseignement, mais de l'ensemble des sociétés européennes en presque chacune de leurs parties. Par contraste, on pourra aussi mieux cerner la difficulté et l'ambition, qu'il faut situer dans le cadre d'un changement historique à peine amorcé au cours des dernières décennies, des entreprises actuelles visant à faire évoluer l'enseignement vers des formes qui, en fait se heurtent de front au vigoureux corsetage imposé par la contrainte du temps didactique.Note de contenu : bibliogr. Sur la formation historique du temps didactique [texte imprimé] / Yves CHEVALLARD, Auteur ; Alain MERCIER, Auteur . - Marseille : IREM d 'Aix-Marseille, 1987 . - 89 p. : ill.. - (Publication de l'IREM d'Aix-Marseille, ISSN 0297-4347; 8) .
Langues : Français
Mots-clés : didactique contrat didactique situation didactique temps histoire Résumé : Dans les systèmes modernes d'enseignement, tout enseignant doit organiser son enseignement selon une progression qui assigne à chaque item de connaissance sa juste place dans le programme d'étude. Une chose à la fois, et chaque chose en son temps : telle pourrait être la devise. Or cette contrainte de linéarité, cette nécessité où se trouve l'enseignant de produire un temps didactique normé - dont l'analyse a été menée ailleurs (Y. Chevallard, La transposition didactique, du savoir savant au savoir enseigné, Grenoble, 1985) n'ont pas toujours prévalu.
Il y a une genèse historique du temps didactique, contemporaine de la formation d'une nouvelle conception de ce que c'est qu'enseigner et, corrélativement, de ce que c'est qu'apprendre. Le temps didactique apparaît ainsi comme un trait déterminant de formes historiquement nouvelles du contrat didactique.
Cette nouveauté, pourtant, n'est pas récente. Elle naît de la rupture qui s'étale sur deux siècles au moins, entre un contrat didactique "médiéval" et un enseignement "moderne", qui se dessine clairement, dans ses principes fondamentaux, et même s'il nous paraît fort éloigné de notre univers didactique actuel, dès le XVIe siècle.
Cette étude, qui intéresse au premier chef le chercheur, concerne aussi l'enseignant, auquel elle montrera combien certains de ses gestes quotidiens, devenus si usuels qu'il les tient pour aller de soi, sont en réalité le fruit d'une longue évolution, non seulement du système d'enseignement, mais de l'ensemble des sociétés européennes en presque chacune de leurs parties. Par contraste, on pourra aussi mieux cerner la difficulté et l'ambition, qu'il faut situer dans le cadre d'un changement historique à peine amorcé au cours des dernières décennies, des entreprises actuelles visant à faire évoluer l'enseignement vers des formes qui, en fait se heurtent de front au vigoureux corsetage imposé par la contrainte du temps didactique.Note de contenu : bibliogr. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité i3585 B/AIX-MRS/1987 Livre IREM Salle Disponible
Titre : Rationnels et décimaux dans la scolarité obligatoire : Comptes rendus d'observations de situations et de processus didactiques à l'école Jules Michelet de Talence Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadine BROUSSEAU, Auteur ; Guy BROUSSEAU, Auteur ; IREM de Bordeaux Aquitaine (Talence), Editeur scientifique Editeur : Talence : IREM de Bordeaux Aquitaine Année de publication : 1987 Importance : 535 p. Langues : Français Mots-clés : contrat didactique comportement de l'élève didactique Résumé : Cet ouvrage présente le programme détaillé et la chronique d'un curriculum de 65 leçons reproduit pendant 25 ans (1973-1998) dans les deux classes parallèles du CM2 de l'Ecole Michelet de Talence. Les leçons étaient conçues et commentées par Guy Brousseau, préparées par l'équipe et critiquées pour tous ceux qui fréquentaient les séminaires de l'IREM. Nadine Brousseau a rédigé les différentes versions de chacune des fiches didactiques qui composent cet ouvrage en deux parties.
La première décrit le déroulement des 65 leçons : consignes, comportements des élèves, stratégies du maître, résultats, remarques diverses, tout ce qui concerne la reproduction de situations comparables. Pour effectuer des mesures subliminaires, les élèves utilisent des "commensurations ", les classent en rationnels. Ils étudient leurs opérations (+,-, multiplication par un scalaire) et enfin leurs formulations dans le langage des fractions (module 1). L'étude de leur topologie et les calculs des fractions qu'elle entraine révèlent leur faiblesse et les élèves utilisent spontanément les décimaux pour les approcher et les représenter (module 2). Pour désigner et calculer des agrandissements, les élèves étudient les rationnels comme fonction linéaire (module 3) et les nombreuses applications de la linéarité (module 4). L'étude des compositions d'applications linéaires (scalaires ou accompagnés d'équations aux dimensions) achève la définition du produit de rationnels, l'unification des différentes propriétés de la structure.
La deuxième partie présente les bases empiriques, théoriques, mathématiques et épistémologiques du projet et quelques-uns des premiers résultats des observations (1980). Elle est composée de deux articles traitant des problèmes de l'enseignement et de la didactique des décimaux (publiés dans la revue Recherches en Didactique des Mathématiques 1980-1981). Ces articles commentent les observations et indiquent quelques-uns des concepts de didactique mis en évidence au cours des recherches. Les réflexions mathématiques, épistémologiques et didactiques qui ont précédé le choix des conditions et du processus d'apprentissage y sont présentées de façon succincte ainsi que les objectifs des séquences.Note de contenu : index, bibliogr. En ligne : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00610769/fr/ Format de la ressource électronique : Rationnels et décimaux dans la scolarité obligatoire : Comptes rendus d'observations de situations et de processus didactiques à l'école Jules Michelet de Talence [texte imprimé] / Nadine BROUSSEAU, Auteur ; Guy BROUSSEAU, Auteur ; IREM de Bordeaux Aquitaine (Talence), Editeur scientifique . - Talence : IREM de Bordeaux Aquitaine, 1987 . - 535 p.
Langues : Français
Mots-clés : contrat didactique comportement de l'élève didactique Résumé : Cet ouvrage présente le programme détaillé et la chronique d'un curriculum de 65 leçons reproduit pendant 25 ans (1973-1998) dans les deux classes parallèles du CM2 de l'Ecole Michelet de Talence. Les leçons étaient conçues et commentées par Guy Brousseau, préparées par l'équipe et critiquées pour tous ceux qui fréquentaient les séminaires de l'IREM. Nadine Brousseau a rédigé les différentes versions de chacune des fiches didactiques qui composent cet ouvrage en deux parties.
La première décrit le déroulement des 65 leçons : consignes, comportements des élèves, stratégies du maître, résultats, remarques diverses, tout ce qui concerne la reproduction de situations comparables. Pour effectuer des mesures subliminaires, les élèves utilisent des "commensurations ", les classent en rationnels. Ils étudient leurs opérations (+,-, multiplication par un scalaire) et enfin leurs formulations dans le langage des fractions (module 1). L'étude de leur topologie et les calculs des fractions qu'elle entraine révèlent leur faiblesse et les élèves utilisent spontanément les décimaux pour les approcher et les représenter (module 2). Pour désigner et calculer des agrandissements, les élèves étudient les rationnels comme fonction linéaire (module 3) et les nombreuses applications de la linéarité (module 4). L'étude des compositions d'applications linéaires (scalaires ou accompagnés d'équations aux dimensions) achève la définition du produit de rationnels, l'unification des différentes propriétés de la structure.
La deuxième partie présente les bases empiriques, théoriques, mathématiques et épistémologiques du projet et quelques-uns des premiers résultats des observations (1980). Elle est composée de deux articles traitant des problèmes de l'enseignement et de la didactique des décimaux (publiés dans la revue Recherches en Didactique des Mathématiques 1980-1981). Ces articles commentent les observations et indiquent quelques-uns des concepts de didactique mis en évidence au cours des recherches. Les réflexions mathématiques, épistémologiques et didactiques qui ont précédé le choix des conditions et du processus d'apprentissage y sont présentées de façon succincte ainsi que les objectifs des séquences.Note de contenu : index, bibliogr. En ligne : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00610769/fr/ Format de la ressource électronique : Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité i3456 B/BOR/ Livre IREM Salle Disponible
Titre : Le vrai et le faux en mathématiques au collège et au lycée Type de document : texte imprimé Auteurs : Michèle GANDIT, Auteur ; Marie-Claire MASSÉ-DEMONGEOT, Auteur ; IREM de Grenoble, Auteur Editeur : Saint-Martin D'Hères : IREM de Grenoble Année de publication : 2001 Importance : 152 p. Langues : Français Mots-clés : expérimentation conjoncture contrat didactique logique vérité mathématique Résumé : L'observation des attitudes d'élèves de sections diverses et de différents niveaux, d'adultes aussi, amène les auteurs à penser que l'échec de beaucoup d'entre eux provient d'une image fausse des mathématiques et de l'activité afférente, en particulier celle-ci requerrait une "bosse des maths", un peu de magie, un mépris du quotidien (en maths, les réponses farfelues sont permises), beaucoup de chance (celle qui permet de trouver sans chercher). Cette représentation conduit certains à quémander les "bonnes recettes", les méthodes qui permettent de réussir à court terme ou bien à abandonner leur responsabilité vis à vis de leurs actes mathématiques.
Comment rendre l'élève responsable dans son activité mathématique, ou faire en sorte qu'il recouvre sa responsabilité. Quels sont les implicites qui séparent quotidien et mathématiques ? Comment donner à la classe les critères internes aux mathématiques pour décider du vrai et du faux ? Supprimer au maximum les arguments d'autorité (ceux du professeur et ceux des élèves) devrait conduire l'élève à se sentir responsable de sa production, orale et écrite. Dans cette perspective ont été favorisées les activités de validation.
Plutôt que des activités "clé en main", il est proposé au professeur quelques fils directeurs pour construire et surtout conduire ses propres activités, ainsi qu'une réflexion sur son attitude en classe, sur son rapport aux élèves et au savoir qu'il enseigne.Note de contenu : bibliogr. En ligne : http://numerisation.irem.univ-mrs.fr/GR/IGR99023/IGR99023.pdf Le vrai et le faux en mathématiques au collège et au lycée [texte imprimé] / Michèle GANDIT, Auteur ; Marie-Claire MASSÉ-DEMONGEOT, Auteur ; IREM de Grenoble, Auteur . - Saint-Martin D'Hères : IREM de Grenoble, 2001 . - 152 p.
Langues : Français
Mots-clés : expérimentation conjoncture contrat didactique logique vérité mathématique Résumé : L'observation des attitudes d'élèves de sections diverses et de différents niveaux, d'adultes aussi, amène les auteurs à penser que l'échec de beaucoup d'entre eux provient d'une image fausse des mathématiques et de l'activité afférente, en particulier celle-ci requerrait une "bosse des maths", un peu de magie, un mépris du quotidien (en maths, les réponses farfelues sont permises), beaucoup de chance (celle qui permet de trouver sans chercher). Cette représentation conduit certains à quémander les "bonnes recettes", les méthodes qui permettent de réussir à court terme ou bien à abandonner leur responsabilité vis à vis de leurs actes mathématiques.
Comment rendre l'élève responsable dans son activité mathématique, ou faire en sorte qu'il recouvre sa responsabilité. Quels sont les implicites qui séparent quotidien et mathématiques ? Comment donner à la classe les critères internes aux mathématiques pour décider du vrai et du faux ? Supprimer au maximum les arguments d'autorité (ceux du professeur et ceux des élèves) devrait conduire l'élève à se sentir responsable de sa production, orale et écrite. Dans cette perspective ont été favorisées les activités de validation.
Plutôt que des activités "clé en main", il est proposé au professeur quelques fils directeurs pour construire et surtout conduire ses propres activités, ainsi qu'une réflexion sur son attitude en classe, sur son rapport aux élèves et au savoir qu'il enseigne.Note de contenu : bibliogr. En ligne : http://numerisation.irem.univ-mrs.fr/GR/IGR99023/IGR99023.pdf Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité i3324 B/GRE/2001 Livre IREM Salle Disponible